Il y a la l�chet� du fils qui -sous pr�texte de fignoler une image- a refus� l’ultime et n�cessaire geste d’amour.
Il y a le refus social -tamis� ici par des pr�sences aimantes- de regarder le mourant comme quelqu’un qui doit mourir et non comme un corps qu’il faut faire survivre.
Merci d’avoir �crit ce texte.