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Pédophilie, paraphilie et hébéphilie.

samedi 20 septembre 2008

Pédophilie, paraphilie et hébéphilie

Le manuel psychiatrique DSM-IV, qui fait actuellement autorité dans le domaine du diagnostic de la santé mentale, reconnaît la pédophilie comme un trouble du comportement sexuel. En vue de sa révision en DSM-V, une équipe de psychiatres canadiens vient de suggérer l’introduction d’une distinction claire entre pédophilie et hébéphilie (dans le groupe des paraphilies).

Cette dernière renvoie à la préférence sexuelle pour les adolescents en phase pubertaire (11 à 14 ans). Les chercheurs ont réalisé des entretiens avec 881 mâles ayant soit des antécédents criminels, soit des troubles comportementaux catalogués comme pédophile. Ils ont assorti ces entretiens d’une mesure de l’érection pénienne face à des enfants d’âges divers. Il en ressort une distinction nette entre les individus attirés par les enfants prépubères et ceux séduits par les pré-ados ou les jeunes ados. D’où, selon eux, la nécessité de distinguer les deux troubles ou de créer un trouble de pédohébéphilie, avec trois sous-types : pédophile, hébéphile, pédohébéphile.

Un des problèmes posés par cette classification, c’est la désignation de l’hébéphilie comme paraphilie. On assiste dans les pays occidentaux à une avancée générale de la puberté depuis plusieurs générations (voir Expertise collective Inserm 2007, Évolution séculaire de la croissance et de la puberté), de sorte que le sexe biologique (capacité à procréer) est éventuellement en décalage avec le sexe psychologique (désir d’un partenaire sexuel) et le sexe socio-juridique (majorité sexuelle reconnue par le droit).

La puberté correspond à l’activation de la fonction hypothalamo-hypophyso-gonadique, aboutissant au développement complet des caractères sexuels, à l’acquisition de la taille définitive, de la fonction de reproduction et de la fertilité. Chez la fille, elle commence par le développement des glandes mammaires (en moyenne à partir de 10,5/11 ans), suivi de la pilosité pubienne et axillaire, des modifications de la vulve et des premières règles (ménarche), en moyenne autour de 13 ans. Leur date de survenue est considérée comme normale entre 10 et 15,5 ans. Du point de vue du droit, la majorité sexuelle est néanmoins fixée après la survenue moyenne cette puberté (15 ans en France, mais date variable selon les pays). Du point de la psychologie évolutionniste, la recherche d’un partenaire franchissant tout juste sa puberté paraît comme un trait normal du comportement sexuel masculin : cela maximise les chances que le partenaire en question soit vierge, donc qu’il reproduise ses gènes en cas de conception. Les mariages arrangés avec les enfants, et les consommations assez précoces par rapport à notre standard actuel, n’étaient pas si rares dans les siècles passés (le Code civil fixait initialement la majorité sexuelle à 11 ans) ni ne le sont dans certaines sociétés traditionnelles.

On ne sait pas encore si cette distinction sera maintenue dans la version définitve dont la publication est prévue pour mai 2012.

Notons en outre que si le terme pédophilie et autre paraphilie peut être maintenu pour ce qui relève de l’aspect psychiatrique, il s’agit de pédocriminalité dès qu’il y a passage à l’acte.

1 Message

  • Pédophilie, paraphilie et hébéphilie. Le 2 mars 2011 à 15:52, par Collectif Sud

    Copie message reçu du Collectif Autre Monde :

    AFFAIRE AMIDLISA - Département du Var
    Pédocriminalité

    LE COLLECTIFAUTRE MONDE
    à
    Madame Danièle Drouy Ayral

    Procureur de la République 83300 Draguignan

    LR/AR En responsabilité du 31 janvier 2011

    Objet : Enfants de votre département en grand danger.

    Madame le Procureur,

    Vous receviez en date du 10 Janvier 2011 d’une Association étant une infime composante de notre Collectif, une LR/AR pour le moins subjective au sujet de cette très sensible affaire varoise concernant le dossier : ‘Amidlisa Pédocrimminalité Var’

    Madame, notre Collectif, averti une nouvelle fois par un membre de L’ O.C.C.U.L.T.E. se doit de vous alerter en urgence que ces jeunes enfants, comme le prouve le commentaire ci-joint*, sont soumis à un formatage et conditionnement d’une dangerosité extrême et irréversible quant à leur devenir psychique et psychiatrique.

    Madame le Procureur, de par vos fonctions nous vous demandons d’intervenir expressément afin d’assurer la sécurité physique et mentale de ces petits enfants et de les écarter de leur géniteur afin qu’ils retrouvent sérénité et affection près de ceux qu’ils aiment et qui les aiment.

    Excluant évidemment de vos services tout placement près des structures (bien peu recommandables) de l’Enfance varoise mises en cause par les témoignages gravissimes de ces enfants. Les investigations du Collectif Autre Monde au sujet de ces structures mais aussi concernant la totalité de cette affaire et l’usage qu’il en fera, étant bien plus avancées et révélatrices que ce que certains pourraient croire :

    Nous pensons qu’il serait plus que temps, Madame le Procureur, de mettre un terme définitif à cette pantalonnade de soutien au géniteur et forfaitures afférentes à ce dossier dans lequel certains services représentatifs de l’Etat et du département du Var se ridiculisent et s’embourbent inexorablement jour après jour et de mal en pis.

    Avec nos respectueuses salutations.

    Signé : LE COLLECTIF AUTRE MONDE

    commentaire ci-joint* (Extrait de ‘Interrogations & Constatations’ du dossier :

    ‘Amidlisa’ du Collectif Autre Monde)
    8°)
    Les enfants M ------ de Cogolin ont été soumis, de part leur père, au moins à quatre ou cinq reprises à la projection du film de Guillermo del Toro : - Le Labyrinthe de Pan -
    Au Collectif, nous ne pensons pas que ces projections répétées et inadmissibles, de part l’impact horrifiant des images contenues, sur des enfants de deux ans et demi, quatre et six ans, soient gratuites, dénuées d’intérêts et de but.
    Il est indéniable que l’affiche même de ce film, reproduite également sur le DVD visionné, représente le portrait du Dieu Pan, faune à visage de bouc / Bouc de Mendes / Baphomet, qui est a lui seul un symbole très puissant des cultes Maçons Illuminati.
    D’autre part différentes scènes et images de ce film se rapportent en tous points à des symboliques fortes et bien connues en occultisme maçonnique et autres pratiques sataniques :
    L’oeil d’Horus dans la main du faune / Le sol à damier / La lune est pleine dans le ciel et nous pouvons ouvrir le portail / Le faune demande à la fillette : ‘Le sacrifice du bébé pour être sauvée’
    Dans ce contexte au Collectif Autre Monde et bien que nous ne prétendions en aucune compétence analytique en pédopsychiatrie, il nous est fort surprenant de constater que la petite Margaux, six ans, dans ses dessins représente étrangement ses parents par des formes pyramidales ! La pyramide étant, pour ceux qui encore en douteraient, le principal symbole des maçonniques Illuminati.
    « montagne sommet en haut = papa » « montagne sommet en bas = maman »
    Et chose hallucinante pour son âge, matérialisant même sur ses dessins les différents degrés maçonniques !!!
    D’où nos certitudes que ces trois enfants M - - - - - - , maintes fois violés, ballotés dans des orgies ou se seraient trouvés, entre autres et actifs, des employés de l ’ADSEA du Var en charge de ces enfants ; témoins obligés de nombreux crimes sataniques sur d’autres enfants (dont un découpé vivant et égorgé devant eux…témoignage vidéo des enfants en notre possession), obligés de participer et poignarder eux même un enfants sacrifié (dessins et déclarations des enfants en notre possession) sont soumis sciemment et intensément aux méthodes de programmations, codes de manipulations, formatages et conditionnements psychiques si chers aux francs-maçons sataniques Illuminati . Méthodes dénoncées entre autre par Svali programmeuse défecteur des Illuminati USA en 96 et comme ont été victimes dans leurs enfances Régina Louf, X2, X3, X4 pour l’affaire Dutroux / Nihoul en Belgique ou encore Véronique Liaigre à Angers et le petit Vincent Tanyères à Perpignan, etc …etc.

    Au travers de ces constatations nous comprenons mieux les scandaleuses protections et connivences dont a pu bénéficier jusqu’à présent le géniteur de ces enfants varois.

    *

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